Guerbet, spécialiste mondial des produits de contraste et des solutions pour l’imagerie médicale se réjouit, en tant que partenaire, de l’inauguration du lancement le 26 septembre, de la Chaire MeGadoRe sous l’égide de la fondation Université de Bretagne occidentale (UBO). La Chaire MeGadoRe a pour ambition d’associer dans une même synergie, des spécialistes académiques de l’UBO (médecine, géochimie et chimie des agents de contrastes gadolinés), au plus grand groupe international de production d’agents de contraste à base de gadolinium.

Le projet MeGadoRe – la voie de la « green radiology »

Lancé à Brest en 2021 sous l’impulsion des professeurs Douraïed Ben Salem, neuroradiologue au CHU de Brest, Jean-Alix Barrat, géochimiste et chercheur au Lemar et Raphaël Tripier, chimiste et chercheur au laboratoire CEMCA, le projet MeGadoRe pour « Medical Gadolinium Recycling » trouve son origine dans la découverte de la pollution de la faune marine par du gadolinium. Le gadolinium, terre rare, est le principal produit de contraste utilisé en IRM. Ce projet MeGadoRe entend réduire l’impact environnemental de ces examens, en créant un réseau « d’IRM verte » en France, puis à l’échelle européenne pour récupérer ces quantités de produit non injectées.

La RSE, colonne vertébrale de Guerbet

Dans le cadre de sa politique RSE, Guerbet s’engage à réduire son empreinte environnementale en intégrant des pratiques éco-responsables tout au long de sa chaîne de valeur. Cela se traduit par des initiatives visant à minimiser son impact sur l’environnement, notamment en optimisant l’utilisation des ressources naturelles, comme le gadolinium. En s’associant à cette démarche éco-responsable, Guerbet s’engage activement à mettre en place des solutions de maîtrise des impacts environnementaux de ses solutions à l’instar de ce qui est déjà mis en place pour la récupération, en interne, d’iode sur le site de Lanester.

« En cohérence avec notre démarche de développement durable et d’économie circulaire, Guerbet est fier d’avoir été le premier industriel à participer à un dispositif éco-responsable de récupération des quantités de gadolinium non injectées. Nous croyons fermement que l’industrie de la santé a un rôle clé à jouer dans la protection de notre planète, tout en continuant à fournir des produits de soins de qualité au service des patients », déclare Clément Cabanes, Président de Guerbet France et Vice-président d’Europe du Sud.

L’inauguration de la chaire MeGadoRe, une nouvelle étape vers un réseau « IRM verte » européen

La Chaire MeGadoRe inaugurée le 26 septembre à l’IUEM, fruit d’une collaboration innovante entre l’UBO et le milieu industriel, conforte cet engagement de Guerbet envers la durabilité, la responsabilité environnementale et l’excellence dans le domaine de l’imagerie médicale. Cette Chaire universitaire aura pour but de mettre au point un protocole simple et viable pour la récupération du gadolinium dans l’environnement en fournissant les moyens humains, nécessaires au développement entre autres, d’un réseau « IRM Verte ».

« Face à une production de gadolinium, issue des terres rares, générant un impact environnemental substantiel MeGadoRe est une solution pour limiter la présence gadolinium dans l’environnement.  MeGadoRe marque une étape cruciale dans la recherche de solutions durables pour l’imagerie médicale. Nous sommes reconnaissants envers Guerbet pour sa collaboration, qui nous permettra de réaliser des avancées significatives dans le recyclage des produits de contraste à base de gadolinium. Nous nous félicitons de constater que ce projet éco-responsable rencontre un véritable succès en France, succès que nous souhaitons étendre à d’autres pays européens. », souligne le Pr. Douraïed Ben Salem, neuroradiologue au CHU de Brest.

Depuis son lancement, le réseau « IRM Verte » en France ne cesse de croître. À fin septembre 2023, 217 centres en France participaient à la récupération de produits de contraste, soit plus de 550 IRM sur les 1 100 appareils d’IRM que compte la France. À l’heure où l’on estime qu’environ 44 tonnes de produits de contraste gadolinés seront utilisées au cours des dix prochaines années en France avec l’augmentation exponentielle du nombre d’examens par IRM, il est prépondérant de porter ce type d’initiative.

« En soutenant le lancement de cette chaire universitaire MeGadoRe, nous entendons faciliter le lancement d’études sur l’écotoxicologie du gadolinium dans l’environnement et la recherche sur la récupération maximisée. Avec un usage croissant de produits de contraste, il est de notre responsabilité d’industriel de contribuer durablement à l’impact de notre industrie sur l’environnement. Ensemble nous contribuerons à façonner l’avenir de l’imagerie médicale et à préserver la planète pour les générations futures. » commente Jean-Loïc Lepeigneul, directeur national imagerie diagnostique de Guerbet, présent à l’inauguration.

À propos de Guerbet

Chez Guerbet, nous tissons des liens durables pour permettre de vivre mieux. C’est notre Raison d’Etre. Nous sommes un des leaders de l’imagerie médicale au niveau mondial, offrant une gamme étendue de produits pharmaceutiques, de dispositifs médicaux, de solutions digitales et IA, pour l’imagerie diagnostique et interventionnelle. Pionnier depuis plus de 95 ans dans le domaine des produits de contraste, avec plus de 2 600 collaborateurs dans le monde, nous innovons en continu et consacrons 10% de nos ventes à la Recherche & Développement dans quatre centres en France, en Israël et aux États-Unis. Guerbet (GBT) est coté au compartiment B d’Euronext Paris et a réalisé en 2022 un chiffre d’affaires de 753 millions d’euros.

À propos du projet MeGadoRe

Né en 2021 lors des journées francophones de radiologie, le projet MeGadoRe pour « Medical Gadolinium Recycling » est un projet éco-responsable qui a pour objectif de réduire la pollution et développer le recyclage des produits de contraste à base de gadolinium utilisés en IRM. Initié par le laboratoire de l’information médicale (LaTIM) du CHU de Brest avec l’UBO, le LEMAR et le CEMCA, ce projet soutenu par des industriels de premier plan tels que Guerbet, franchit une nouvelle étape dans son développement avec l’appui d’une Chaire universitaire qui entend donner les moyens au lancement d’études sur l’écotoxicologie du gadolinium tout en sensibilisant à la pollution induite par cette terre rare.

Contacts :

Guerbet       

Claire Lauvernier, Directrice de la Communication

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Actifin         

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